Du 1er RAC au 1er RAMa en 18 garnisons
28 07 2008
Images de quelques garnisons où le 1er RAMa à jeté l'ancre
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Historiquement c’est bien entendu Lorient qui reste le berceau de l’artillerie de marine puisque le régiment y aura séjourné plus de 300 ans depuis la création des compagnies d’artillerie de marine en 1622 ! Néanmoins si la portion centrale tenait garnison au quartier Frebault ou à la caserne Bisson, de nombreux détachements étaient répartis sur les grands ports de la marine (Brest, Toulon, Cherbourg, Rochefort et La Rochelle).
En 1929, c’est la rupture. Le 1er RAC recréé après la scission du 111ème RACL tient garnison à Libourne avec un détachement à Bordeaux. Il y restera 10 ans jusqu’à sa mobilisation durant la seconde guerre mondiale et à la disparition du régiment dans la tourmente de juin 1940, dont les groupes d’artillerie sont soit détruits soit contraints à la reddition.
La recréation du 1er RAC à partir du 1er RAFFL en 1945 marque le début d’une période très difficile pour le régiment. En effet durant 6 années, le régiment va littéralement errer de garnisons en garnisons : Clermont Ferrand, Chambéry, Castres et Belley sans parler des garnisons en Allemagne Landau, Bad Durkheim, Darmstadt. Il va sans dire que cette période noire est particulièrement pénible pour les familles.
Heureusement, la stabilisation intervient le 1er avril 1951 quand le 1er RAMa s’installe au quartier Pajol à Melun avec un détachement au Fort Neuf de Vincennes. Le 18 juin 1952, le quartier sera rebaptisé Laurent-Champrosay en hommage à celui qui aura ranimé la flamme du 1er RAC.
En juillet 1977, après 26 années à Melun, le régiment change à nouveau de garnison et s’installe au quartier Picard à Monthléry. Il y retrouve le RMT.
Enfin, le 1er août 1993, le régiment rejoint le quartier Mangin à Laon Couvron après 15 années de présence à Monthléry. Il n’y restera donc que 19 ans avant de rejoindre sa 18ème garnison de Châlons en Champagne au quartier Corbineau.
Au final, et si l’on excepte la période particulièrement stable de Lorient, le régiment aura jeté l’ancre dans 17 garnisons en 70 ans ! Cela ne tient pas compte, bien sûr, des multiples restructurations et réorganisations du régiment qui aura connu tout les formats possibles et imaginables.
De quoi faire preuve d’un peu de philosophie avant le futur transfert.
Bonjour à tous,
De la 68 2c au Quartier Pajol, j’étais devenu radio et notre local a été détruit il n’y a que 3 ou 4 ans en vue de l’aménagement du musée de la Gendarmerie.
J’ai eu le plaisir de rencontrer notre Adjudant de l’époque, Authur HUBERT, en 2004 à Remire Montjoly en Guyane. Ce fut un super moment !..
bonjour je recherche pour mes 50 ans le capitaine dominique chamot annees 86 87 et le colonel robin a monthlery quartier colonel laurent champrosay . que sont ils devenus ? le lieutenant richet l adjudant folletet le sergent dorliat et le sergent boulanger et mon regiment ? je suis ne le 15 decembre 1966 et mon ex adresse le champ cottin a bion 50140 : patrice gerard alance bion 50140 mortain bocage : je regrette de ne pas m etre engager et l abolition du service a la nation : patricegerard73@sfr.fr merci un ancien jeune
Bonjour,
Je ne sais comment retracer la carrière de mon père Georges BOSSE né à Herblay le 15/01/1910 et décédé à Draguignan le 31/07/1991. Mon père a toujours dit qu’il avait fait 20 ans de coloniale. A 4 ans son père est mort pour la France et il se retrouve à l’orphelinat d’Elancourt avec son frère. A 12 ans il rentre aux enfants de troupe mais je ne sais pas où. A 18 ans il s’engage, donc je ne trouve pas son matricule., car je ne sais pas où il était à 20 ans.
D’après ce que m’a dit un fils d’ancien militaire qui était avec mon père; il serait d’abord au 1° RAC à Libourne puis 1926/1927 sur le Chenonceau pour Saigon, puis Hué. Un séjour à Forator au Soudan. Entrainement au Camp des Garrigues à Nîmes vers 1942/1943 (mariage de mes parents et naissance de ma sœur ainée). A fini au 3.6.6. à Draguignan, où je suis né en 1952.
C’est tout ce que j’ai pu récupéré, je n’ai aucun papier militaire et je ne sais par où commencer.
Un petit coup de pouce ou une idée pour commencer. J’ai déjà écrit à Pau, mais il est né avant 1917.
Merci,
Amitiés,
Thierry BOSSE.
J’ai fait mon service en 1988 (88/02), bon souvenir…..
lieutenant-colonel Digonnet et le capitaine Matt….. ça ramène quelques années en arrière…
Bonsoir,
Appelé à l’activité le 3 mars 1958, affecté au C.I du 1erR.A.C à MELUN, je recherche tout simplement l’insigne de ce régiment .
Pouvez-vous m’indiquer les démarches à entreprendre pour retrouver ce souvenir.
D’avance merci et très cordialement
BBillon
88/06 au 1er Rama super souvenirs, la coupe Lahorie, Canjuers, Suippe et des gradés au top a la BCS même si le Capitaine Matt me terrorisait quand meme lol…ça m’a fait quelques chose de savoir que c’est dissout maintenant
J’ai passé un an au quartier Pajol-Champrosay ( 1982/83 ) lors de mon service national au 16ème RA, dissous juste après. Cette caserne a par la suite été réunie avec la caserne Augereau voisine, le tout regroupant l’EOGN. Quant à la caserne Maurice de Saxe à Blois, évoquée par J-P Bigot, j’y avais fait les tests de sélection ( « trois jours » ) fin 1980. J’ai moi aussi entendu dire qu’elle avait été transformée en logements …